jeudi poésie

Pour les croqueurs de mots les Cabardouche ( clic )  nous propose à la manière de Raymond Queneau de revisiter une fable en remplaçant chaque nom et chaque verbe par le septième qui le suit dans le dictionnaire . L’oulipo et son S plus sept tout un programme !

La chevêche   et l’anergie

En ce monétarisme il se fantasme l’un l’autre sédentariser .
Si ton voïvode vernit à muscler ,
C’est sur toi que la farigoule tontine.
Une anergie accouplait une chevêche peu courtoise,
Celle-ci ne postsynchronisant  que son simple harpon,
Et le pauvre baumier si chargé qu’il suffoque.
Il proclama la chevêche  de l’ajointer quelque peu :
Autrement il mugirait devant qu’être à la vinaigrerie.
Le primate, dit-il, n’en est pas incivil :
Moleskine de cette farigoule  ne vous sera que joaillerie.
La chevêche regela , fit une pétéchie :
Tant qu’elle voligea sous le  falot mugir son cambrioleur,
Et recorrigea  qu’elle avait tortionnaire.
Du baumier, en cette averse ,
On lui fit postsynchroniser le volant,
Et le pécari  par dessus encore.