Exposition folklore au centre Pompidou Metz suite
Un petit aperçu des croyances, superstitions et créatures fantastiques qui ont inspiré les artistes.
Emil Nolde peintre allemand réalise ce premier tableau intitulé les géants de la montagne en 1895. Il représente des êtres fantastiques se racontant des histoires autour d’une table. La vision double , la métamorphose de la nature, les personnages mythiques issus de l’oralité nourrissent régulièrement la peinture de Nolde.
Le folklore se différencie de l’art populaire par sa dimension fondamentalement immatérielle. Les rituels dédiés à la nature, les cérémonies païennes ou encore les superstitions vont attirer les artistes de l’après-guerre en raison de leur caractère conceptuel et social. Les surréalistes voient dans le folklore l’expression de la tendance naturelle de l’homme pour l’irrationnel ou, selon Benjamin Péret, le reflet d’une «conscience poétique du monde».
Ci – dessous la superstition vu par Benjamin Peret
Si la transmission orale semble être le dénominateur commun de ces éléments, le colportage a également joué très tôt un rôle dans la circulation des idées et des usages, entre autres par l’imagerie populaire des almanachs ou des calendriers des bergers.
Une œuvre bien particulière ci – dessous, car réalisé entièrement en pate à pain.
Merci de cet intéressant partage, Gisèle !
Oh ! La ! La ! Ces superstitions …
Bon jeudi tout entier,
Bises ❤
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16 juillet 2020 à 2 h 35 min
Étonnante exposition. Bisous
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16 juillet 2020 à 4 h 26 min
Une expo qui doit hanter nos rêves ………..enfin ……….
Bonne journée
Bises
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16 juillet 2020 à 4 h 52 min
wow merci du partage une découverte pour moi
bises bonne journée
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16 juillet 2020 à 5 h 31 min
Bonjour Gisèle très interessant ton billet, des superstitions que je ne connaissais pas , l’oeuvre en pate à pain est originale. Bisous bon jeudi MTH
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16 juillet 2020 à 8 h 51 min
je sais pourquoi pas eu de chance toute ma vie j’ai horreur que la porte de l’armoire reste ouverte, même entrouverte cala m’empêche de dormir.
j’ai bien aimé cette pas mais de la a jeter des détritus dans les cimetière pour le bonheur je dis non!
bises amicales
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16 juillet 2020 à 9 h 06 min
Bonjour Gisèle,Intéressant article, dans certains pays les anciennes traditions persistent encore et chez nous aussi d’ailleurs quand on parle de chat noir de sel sous le paillasson pour empêcher les mauvais esprits de rentrer , ma mère faisait ça
mais dans les superstitions décrites ci-dessus il y en a !!!! jeter des détritus au dessus du mur du cimetière !! pas cool et pour le crucifix, quand on déménageait la première chose à faire en entrant dans la nouvelle maison c’était d’entrer d’abord avec le crucifix et de l’accrocher au dessus de la porte d’entrée.
tous les pays on encore de vieilles traditions qui ont la vie dure
bonne journée
bisous
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16 juillet 2020 à 9 h 38 min
Très joli partage…des superstitions que je ne connaissait pas mais à ne pas mettre en pratique. Bonne journée
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16 juillet 2020 à 10 h 09 min
je touche du bois car je ne suis pas superstitieuse :-)))
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16 juillet 2020 à 12 h 03 min
C’est une exposition intéressante vers laquelle je retournerai peut être avec fifille plus tard des qu’elle le pourra.
Bonne journée bises.
A.
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16 juillet 2020 à 13 h 53 min
Les croyances et superstitions ont fait et continuent à faire des ravages ! Un thème intéressant pour une exposition bises
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16 juillet 2020 à 15 h 34 min
Bonjour d’Angers,
Les gens sont toujours aussi naïfs !
Ils ont besoin d’un veau d’or devant qui se prosterner …
Bonne journée … Amicalement … Claude
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16 juillet 2020 à 15 h 44 min
Ils ont des têtes à faire peur !
bonne fin de journée.
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16 juillet 2020 à 16 h 11 min
Merci pour ce petit aperçu.
Biz
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16 juillet 2020 à 17 h 02 min
Bravo pour ton reportage!
Cette exposition est à voir et à revoir comme j’ai pu le faire en compagnie de la joyeuse équipe!
Bises du jour
Mireille du Sablon
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16 juillet 2020 à 18 h 10 min
Ce doit être une belle exposition.
Dans le conte on travaille aussi avec le dictionnaire des superstitions.
Bonne soirée Jazzy
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16 juillet 2020 à 18 h 10 min
J’aime beaucoup le personnage en pâte à pain. Une belle exposition.
Bises et bon vendredi
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17 juillet 2020 à 9 h 45 min
Je ne connais pas ces superstitions que tu cites. Nous avons d’autres aussi farfelues dans le sud !
Bonne soirée
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17 juillet 2020 à 17 h 15 min
Bonsoir Gisèle, merci pour cet article qui met en avant des superstitions que j’ignorais et des œuvres d’art qui ne manquent pas d’originalité ce que j’apprécie. Penses-tu que si j’avouais que je passe sous tous les échelles pour éviter les chutes de pots de peinture, tuiles ou autres matériaux et que pratiquement tous les chats que j’ai adoptés étaient noirs, on me prendrait pour une folle ? 🙂 Encore merci pour ce partage. Bises et bonne soirée
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17 juillet 2020 à 19 h 00 min
TOUTES les échelles !
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17 juillet 2020 à 19 h 01 min
Ce sont des œuvres exposées ? Il y a un parti pris de mettre en avant l’irrationnel dans l’art populaire, et c’est vrai qu’il est très présent. Mais il n’y a pas que ça. Les influences ici sont très diverses. Au passage j’ai reconnu la Tarasque, de Tarascon, il y en a d’autres.
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18 juillet 2020 à 18 h 34 min