Jeudi poésie
Pour jeudi poésie des croqueurs de mots un clic sur le logo .
Jill Bill à la barre du bateau des croqueurs de mots pour la quinzaine nous propose
L’importun ou thème libre .
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L’ importun un jour est entré dans nos vies
Petit à petit presqu’en catimini
Emboitant nos pas avec insistance
Créant chez nous une vraie dépendance
*
Mais quand soudain sa sonnerie retentit
Faisant de partout sursauter le silence
Dans une frénétique et longue transe
C’omme un envahisseur soudain il jaillit
*
Les échanges cessent de toute urgence
Peu importe où ce parasite sévit
Presque tous cèdent face à ses exigences
*
Ses vibrations comme signes d’impatience
Rythment la journée de tous les asservis
Il serait temps de rentrer en résistance .
le bon coté des choses 
splendide texte et photo
bises bonne journée
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3 décembre 2020 à 0 h 15 min
Bonjour Gisèle,
Bravo pour ce magnifique sonnet !
Bon et beau jeudi,
Bises 😘
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3 décembre 2020 à 0 h 49 min
L’important peut-être le Covid ou tout autre indésirable. J’adore ton poème. Bravo. Bisous
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3 décembre 2020 à 4 h 22 min
Merci Jazzy… je pense aussi au C19, bien décrit, qui aujourd’hui est l’importun de nos vies ! Et comme c’est un odieux personnage, il faudra du temps pour s’en débarasser ! Bon jeuci Croqueurs, bises, jill
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3 décembre 2020 à 4 h 50 min
Magnifique photo et non moins magnifique mise en vers de cet envahisseur, Covid ou autre …… un importun qui , il y a plusieurs décennies, eut la très mauvaise idée de m’enlever ma « moitié »….. oui, il faut entrer en résistance !
Très bonne journée, bisous,
Geneviève
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3 décembre 2020 à 6 h 46 min
Voici un défi bien ficelé et un importun débusqué et contre lequel il faut se battre.
Bises et bon jeudi Jazzy
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3 décembre 2020 à 6 h 54 min
Bonjour d’Angers, !
Le confinement c’est une entrée en résistance … qui se prolonge …
Bonne journée … Amicalement … Claude …
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3 décembre 2020 à 8 h 18 min
Importum qui a su rentrer dans nos vie trouvera t’il la sortie serons nous le vaincre…
Jolie photo pour ce texte..
Douce journée Jazzy bise.
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3 décembre 2020 à 9 h 18 min
Bonjour Gisèle encore un beau texte (non signé alors je suppose qu’il est écrit par toi, ) bien illustré , un défi bien relevé bisous bonne journée MTH
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3 décembre 2020 à 9 h 36 min
Ton défi 5/5
Bravo
J’ai bien apprécié
Bonne journée Gisèle
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3 décembre 2020 à 9 h 44 min
celui là est bien réel… j’avais pensé au cancer mais je n’ai pas su le mettre en mot. ! « ton » virus est parfaitement d’actualité hélas !
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3 décembre 2020 à 9 h 44 min
Très beau texte et belle photo. Bonne journée. Bises
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3 décembre 2020 à 10 h 13 min
Il n’est pas invité alors faisons en sorte qu’il ne reste pas nonméo!!
Bises du jour
Mireille du sablon
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3 décembre 2020 à 11 h 22 min
… Jazzy Maria de Heredia ….. Oui, j’ai découvert ton admirable sonnet.
Me fait penser à plusieurs films de Michel Blanc, dans viens j’habite chez une copine, il squatte avec insistance.
Il était temps pour les autres de rentrer en résistance.
D’abord, j’ai dans ta poésie cherché l’acrostiche, et j’ai eu bien du mal :-))
Suis allé voir tes autres billets, le tricycle version motorisé, sympa, et aussi la féerie des lumières, comme inauguré à Gaillac, le festival des lumières, façon chinoise.
Amicalement. Yann
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3 décembre 2020 à 13 h 59 min
C’est splendide (texte et illustration bien harmonisés).
Bisous du jeudi
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3 décembre 2020 à 14 h 16 min
un beau poème adapté à ce temps précaire. Entrer en résistance ne veut pas dire être imprudent ou simplement refuser la réalité. Serrons les pouces pour que le vaccin protège sans trop d’effets secondaires. Bises
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3 décembre 2020 à 16 h 56 min
nous sommes « asservi » il n’y a pas de doute si j’imagine bien ce que tu décris … en fait je me trouve sur celui là de poème en décalage avec les autres commentaires….je pense au téléphone ? bisous
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3 décembre 2020 à 17 h 06 min
Oui Eglantine c’est bien à lui que je pensais en écrivant
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3 décembre 2020 à 17 h 11 min
Résister c’est une bonne idée mais comment faire pour court-circuiter ceux qui décident pour nous.
Bonne soirée.
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3 décembre 2020 à 17 h 40 min
C’est un inportun qui a la vie dure… Notre résistance aura t elle raison de lui afin que nous retrouvions une vie normale ?
Bises du soir.
Annie
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3 décembre 2020 à 20 h 39 min