Le jeteur de pierre
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Prendre une image personnelle d’escalier ou de porte ou de statue et les faire parler ou en parler selon votre ressenti. La photo ne doit pas venir d’Internet. Comme il s’agit quand même de la suite de l’abécédaire , cette fois avec la lettre W mettre dans le titre de la photo un mot commençant par W.
Pas de wap pour le jeteur de pierre de Metz
Le jeteur ou lanceur de pierres représente un jeune garçon qui lance des pierres dans la rivière pour faire des ricochets.
Il s’agit d’une œuvre en bronze du sculpteur mosellan Henri Legendre né en 1892 à Tritteling.
Je l’ai entendu me donner une toute autre version .
Ne vous approchez pas, voitures démentes
Mes pierres touchent toujours leurs cibles
J’aime la nature que je trouve encor clémente
Ne me chatouillez pas je deviens vite irascible
Le buste de Verlaine
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Prendre une image personnelle d’escalier ou de porte ou de statue et les faire parler ou en parler selon votre ressenti. La photo ne doit pas venir d’Internet. Comme il s’agit quand même de la suite de l’abécédaire , cette fois avec la lettre V mettre dans le titre de la photo un mot commençant par V.
Je vous propose de venir découvrir le buste de Verlaine. C’est en 1925 que cette statue en bronze de James Vibert sera installée sur le boulevard Poincaré au pied de l’esplanade
Alphonse Daudet disait de lui que ses cravates étaient aussi belles que ses sonnets. Paul Verlaine aimait donc être cravaté. Chaque 30 mars, pour son anniversaire, l’association des amis de Verlaine offre à son buste une jolie cravate.
”Un chant discret et doux traduisant des impressions indécises “ la poésie selon Verlaine
Je ne résiste pas à vous proposer quelques vers extraits de son poème “Ode à Metz “ pour lire l’intégralité un clic ici
“Metz aux campagnes magnifiques,
Rivière aux ondes prolifiques,
Coteaux boisés, vignes de feu,
Cathédrale tout en volute,
Où le vent chante sur le flûte,
Et qui lui répond par la Mute,
Cette grosse voix du bon Dieu !”
“Ô Metz, mon berceau fatidique,
Metz, violée et plus pudique
Et plus pucelle que jamais !
Ô ville où riait mon enfance,
Ô citadelle sans défense
Qu’un chef que la honte devance,
Ô mère auguste que j’aimais.”