abécédaire des mots imposés
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zigomar, zéro, zygomatiques, zinzin, zizanie.
Photo prise sur le net ici
Claudine qui ne veut pas que son mari sème la zizanie en stigmatisant la xénophilie proche du zéro de Xavier intervient de suite :
“ Dis donc mon zigomar, où as tu donc appris à parler wallon , j’ai bien cru que tu devenais complètement zinzin tout à l’heure quand tu me débitais des insultes ? ”
Charles reste muet , alors pour détendre l’atmosphère plutôt glaciale entre les deux hommes et booster les zygomatiques elle les interpelle :
“ Vous n’allez peut être pas me croire mais j’en ai une bien bonne à vous raconter . Hier, j’étais en compagnie d ‘Henrietta, mais si une ancienne copine d’école .Depuis le temps qu’elle me parlait de ces après – midis relaxantes, j’ai fini par accepter.
Nous voilà donc dans une sorte de grand amphi où se trouvent déjà une bonne vingtaine d’hommes et de femmes de tous âges . Au bout de quelques minutes une personne s’approche de nous et nous demande de prendre un objet dans un sac en toile de jute. Je tombe sur une espèce de vis cruciforme . Intriguée, j’interroge du regard mon amie qui laisse planer le mystère en mettant un doigt sur sa bouche . S’approche alors de moi, un quadragénaire à la chevelure frisée qui me tend la même vis et me montre une porte en bas de l’amphi. Quand je me retourne pour demander à Henrietta des explications, je la vois descendre avec un autre homme tout en me faisant signe de la suivre . Arrivée devant la porte, je m’aperçois que le monsieur à la vis est toujours derrière moi, mais cette fois il n’a plus la vis dans la main mais un canard en bois , le genre qui sert à attirer les colverts sur les étangs . Aussitôt la porte s’ouvre et nous voilà propulsés dans un univers absolument hallucinant. Un long couloir donnant sur de petites salles aux rideaux immaculés nous accueille. Blanc, tout est blanc. Les femmes ont troqué leurs habits pour des parures vaporeuses de vestales et déambulent d’un box à l’autre, les hommes portent des toges de la même couleur . Mais où ai – je donc mis les pieds, et bien sur Henrietta qui reste introuvable. Je m’apprête à prendre mes jambes à mon cou quand le canard se pose sur mon épaule ….et là, je me réveille en sursaut, c’est Charles qui en sortant du lit a heurté la sellette faisant tomber la bonbonnière. Quel rêve, nom d’’une pipe, tu vois Xavier je ne suis pas somnambule mais bon sang je me demande d’où j’ai pu sortir tout ça ! ”
Ah certains rêves comment les expliquer… notre cerveau est un cinéma à lui tout seul, la nuit… 😉 bises
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28 septembre 2019 à 0 h 19 min
Ces rêves, ils ont sûrement un lien avec ce que l’on vit ou avons vécu mais c’est si entremêlé parfois que nous y perdons notre latin, hélas ! Défi tout à fait bien relevé, Gisèle !
Bon week-end,
Bises♥
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28 septembre 2019 à 4 h 05 min
Quel rêve ! 😁
Bises et bon samedi
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28 septembre 2019 à 7 h 34 min
Bonjour d’Angers !
Les phantasmes sont prolixes en rêves tous plus … les uns que les autres …
Bonne journée … Amicalement … ¢ℓαυ∂є …
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28 septembre 2019 à 9 h 19 min
J’avais donc un jour d’avance pour poster mon texte et pour cause je ne pûblie pas samedi et dimanche
Tu t’en es bien sortie avec ces mots
hihi
Bonne journée
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28 septembre 2019 à 9 h 22 min
tien voilà un bout de temps que je n’ai pas fait de rêve
bises amicales
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28 septembre 2019 à 9 h 33 min
Ah ! quel rêve….Bon week-end. Bises
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28 septembre 2019 à 9 h 59 min
quel rêve ! et quelle verve ! un grand bravo j’adore-
bon samedi- bisous-
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28 septembre 2019 à 10 h 54 min
UN BEAU ET GRAND TEXTE DE CLÔTURE;
BONNE FIN DE SEMAINE
BISOUS
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28 septembre 2019 à 14 h 19 min
A deux doigt d’aller commettre l’irréparable en rêve????? Bisous bravo
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28 septembre 2019 à 15 h 42 min
Je préfère que ce soit un rêve… je me demande comment il aurait fini si Charles ne s’était pas levé. 🙂
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1 octobre 2019 à 11 h 45 min