Un mois émoi
Pour ce défi du mois écoulé, initié par Renée repris par Martine quai des rimes, un clic sur la photo logo.
Le soleil est au rendez – vous de cette première semaine de juin, mon destrier et moi profitons de ce ciel bleu pour de belles sorties .
Le jardin apprécie particulièrement cette météo et les rosiers rivalisent pour le fleurissement ( par contre en fin de mois les fortes pluies ont bien malmené les fleurs !)
Enfin les musées et édifices culturels sont ouverts , ce sera donc l’exposition” Face à Arcimboldo” pour ce jeudi 3 juin. Je vous assure que nombreux sont les visiteurs, nous avons pu le constater encore dernièrement, car elle peut convenir aussi bien à des jeunes visiteurs qu’à des plus âgés.
Le 9 juin, j’ai l’occasion de retrouver un des professeurs de mes enfants, qui dédicace son dernier ouvrage dans une librairie du centre ville. Un très bon moment à évoquer le souvenir du “ bon vieux temps “ en sa présence et celle de son épouse qui a eu aussi mes enfants au collège.
La semaine du 14 juin au 21 juin est particulièrement chaude puisque les températures de 30 degrés et plus sont fréquentes, aussi l’ombre est recherchée pour les sorties, à pied comme à vélo.
Le 18 juin nous effectuons de bonne heure, une petite escapade à vélo jusqu’à la Maxe , un capricorne est aussi de la sortie. Complètement inoffensif cet insecte.
Par contre, impossible de déterminer si c’est à ce moment que nous avons eu affaire aux poils de ces chenilles processionnaires qui provoquent une horreur de démangeaisons. Je vous assure que ce n’est pas rien. Mon mari en a photographié récemment en ayant soin de ne pas trop s’approcher.
Le 19 juin, j’ai le plaisir d’assister à l’entretien d’Hervé Letellier à l’Arsenal, dans le cadre du livre à Metz. Interrogé par des lycéennes de Cormontaigne, il s’explique sur la genèse de son livre “l’anomalie “. Heureusement la salle est climatisée car ce samedi connait des records de chaleur . Belle rencontre aussi à l’extérieur, sous chapiteau, avec Sophia Aram, une chroniqueuse humoriste de France Inter fort sympathique .
Le week – end suivant c’est à la petite tribu au grand complet de venir, les températures sont beaucoup plus supportables pour fêter les 17 ans de notre petite fille Coline.
Le lendemain nous avons la joie de renouer avec les sorties blogs de la joyeuse équipe et je vous assure que nous apprécions vraiment ces rendez – vous d’amitié partagée.
Je mentionnerai aussi la joie de retrouver les fruits de saison du jardin, cerises, groseilles , framboises . Un régal à consommer tel quel, en coulis, ou en confitures . Ne vous étonnez pas si je ne viens que tard sur vos blogs en ce moment , la cueillette et les différentes étapes de la cuisson me prennent pas mal de temps.
Un mois émoi
Pour ce défi du mois écoulé, initié par Renée repris par Martine quai des rimes, un clic sur la photo logo.
Un mois que je n’ai pas vu passer non plus, même si le confinement est au rendez – vous d’ avril. Jamais deux sans trois, une fois de plus l’adage se vérifie.
Inutile de polémiquer sur la façon de contrer cette vague de Sars Cov 2 qui déferle chez nous. Bien malin celui qui aurait la formule magique pour l’empêcher de muter ce virus, Merlin l’enchanteur et les fées n’existent que dans les légendes et les contes, et jusqu’à preuve du contraire aucune fée ne s’est manifestée pour éradiquer le virus.
Juste avant que le rayon de 10 km soit mis en place, j’ai la chance de voir ma petite tribu vosgienne et de me promener dans cette belle forêt où les ruisseaux sont nombreux .
Le printemps dès le lundi de Pâques semble s’effacer devant l’hiver tant le thermomètre a tendance à flirter avec le zéro. Giboulées au rendez vous, pas question de se découvrir d’un fil.
C’est l’affluence aux mangeoires pour les passereaux. Y a plus de saison ma bonne dame semblent me dire mésanges, sittelles et pinsons.
Le vert inexorablement s’installe dans le parc, ponctué ça et là de l’effervescence blanche des pruneliers.
Le beau temps s’installe, même si les gelées sont encore fréquentes le matin, les sorties dans ce fameux rayon de 10 km sont les bienvenues et c’est bien là l’essentiel. Nous en profitons pour aller saluer les nouvelles arrivées pour la tonte des espaces verts.
Excuse moi “Lulu”, je sais le male aurait du l’emporter pour l’accord, mais pour une fois ni vu ni connu tu passes pour une vache !
Lors de ces escapades en extérieur, j’en connais un qui a eu la peur de sa vie, petit lapinou, tout juste sorti du terrier, ne savait pas que les corneilles pouvaient être si méchantes. Heureusement, avec force cris et en moulinant des bras, j’ai réussi à les éloigner et à leur faire lâcher prise. J’ai eu l’occasion de le revoir ce lapinou il a bien grandi.
Mois qui aussi a permis d’être vaccinée. Enfin un créneau se libère au centre du palais des sports. Excellente organisation d’une efficacité remarquable capable de vacciner un grand nombre de personnes mais certains font demi-tour en apprenant le nom du vaccin.
Petite parenthèse dans les sorties suite aux effets secondaires de la vaccination, que j’étais à peu près sure d’avoir, mes cellules ayant certainement encore la mémoire du virus. Trois jours, certes c’est gênant, mais ce n’est pas une catastrophe et surtout ce n’est pas systématique.
Fin du mois nous sommes allées sur le St Quentin voir si les anémones pulsatiles étaient au rendez – vous.
Pas vraiment, soit elles sont déjà fanées, soit pas encore ouvertes, peut être que le manque d’eau se fait déjà sentir par contre les fraisiers sauvages sont eux bien fleuris.
Voilà un bon moment que je n’ai mis les pieds à l’esplanade, comme vous pouvez le constater il y a plus de végétation que de bipèdes. Fin de ce mois c’est chose faite, à partir de là nous gagnerons avec Mireille du Sablon le plan d’eau, puis le parc où paissent tranquillement Lulu et ses copines.
J’ai passé un peu plus de temps aussi au jardin, un défrichage étant devenu vraiment nécessaire. Mais j’ai quand même lu plusieurs livres, que j’ai particulièrement aimés.
Bon mois de mai à toutes et tous