Le jeu des acrostiches
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Promenade au parc pour ce mercredi 8 juillet .
P ermission nous est accordée depuis un mois
R etrouver dans le parc la faune et la flore
O ffrant à nos regards les mêmes sources de joie
M alicieuses oies sur les pontons se dorent
E tonnées de revoir les bipèdes ma foi
N aturellement, personne ne les ignorent
A vec leurs cris stridents, elles font valoir leurs droits
D ésirant occuper l’espace longtemps encore
E lles nous préviennent en donnant de la voix.
A rpentons les chemins , redécouvrons les lieux
U ne pause de temps à autre, c’est bien mieux
P renons le temps d’observer cette nature
A pprenons à connaitre sa diversité
R ichesse infinie de chaque texture
C hatoyantes couleurs aux abords de l’été
Sur les sentiers de Magny
Pour l’atelier 96 de Ghislaine un clic sur le logo
les mots : Assez, confondre, verdure, entendre, vouloir, comme, pourquoi , parler.
ou thème rouge.
Pas question de voir rouge aujourd’hui sous prétexte que la pluie s’est invitée ce matin. Pourquoi ? Parceque la météo s’est montrée plus que clémente hier pour la fête des mères et que nous avons bien profité de ce soleil généreux après avoir déposé notre bulletin dans l’ urne, bien entendu. Comme j’ai pris quelques photos de notre escapade dans la verdure des bords de Seille ( attention je n’ai pas dit Seine , ne confondons pas ), je vous propose de nous suivre .
Parmi les sentiers proposés à la promenade, le secteur de Magny se veut particulièrement attrayant avec son ancien moulin et ses rives ombragées . On pourrait même parler d’un havre de paix pour certaines espèces d’oiseaux tant la végétation leur est favorable .
Aussi après avoir franchi la première passerelle n’avons - nous pas été surpris de découvrir cette petite famille de cygnes.
Visiblement la pause a duré assez longtemps pour le papa cygne et il donne le signal du départ à sa petite troupe .
J’admire toujours la façon dont les cygneaux s’alignent derrière maman cygne .
Un petit coup d’œil au déversoir situé pres de l’ancien moulin et nous continuons notre chemin , non sans avoir remarqué que quelques gouttes tombent des saules pleureurs quand nous passons dessous .
Intrigués nous levons la tête et voyons une mousse blanche caractéristique sur les feuilles , il s’agit des crachats de coucou, rien à voir avec l’oiseau éponyme mais une particularité de la cicadelle écumeuse qui se nourrit de la sève des végétaux .
En face sur l’autre rive , un héron joue à patapon perché non sans savourer visiblement la caresse des rayons de Phoebus .
Un peu plus loin s’ouvre une aire de pique nique agrémentée d’appareils sportifs , c’est parti pour la marche accélérée .
Personne ne résiste aux tests des abdominaux . J’ai essayé ( si, si ) , il n’est pas évident de rester longtemps dans cette position .
Les garçons ont préféré le skate parc des Arènes avec la trottinette et le skate , mais il ne sera pas dit que nous avons laissé nos muscles en paix.
Nous continuons la promenade et retraversons la Seille pour revenir sur l’autre rive et, en longeant la route, apercevoir le moulin sur son autre face . Tous les chemins empruntés peuvent l’être aussi à vélo et le nombre de kilomètres facilement modulable sur ces voies vertes, vous pouvez même rejoindre le centre Pompidou à partir de ceux – ci aussi n’hésitez pas à les emprunter .