Quand Paris s’enrhume
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Domi à barre nous propose “Nous sommes en hiver … et “Quand Paris s’enrhume , l’Europe prend froid “.
Quelle est donc cette nouvelle
Qui enfle dans tous les médias ?
La neige, oui, s’amoncelle
à Paris c’est la bérézina .
*
Les autos se font la belle,
Un fantastique gymkhana,
Les usagers se rebellent,
Les chaines font leur cinéma.
*
Fréquence hiver, la tour Eiffel
Est – elle aussi dans l’embarras?
Ne souffre – t – il pas trop du gel
Le zouave du pont de l’Alma ?
*
Paris s’enrhume, Paris a froid,
Février est dans les annales.
Quand tousse la capitale ,
Les journalistes sont en émoi.
le bon coté des choses 
Comme c’est bon, Gisèle !
Mille bravos !
Bonne journée !
Bisous♥
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5 mars 2018 à 4 h 36 min
Ah oui, on a eu bien froid, et chaque fois c’est le même cirque, on n’est jamais prêt et c’est une cata. J’espère pour les habitants que les inondations ne vont pas reprendre.
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5 mars 2018 à 7 h 44 min
Bonjour d’Angers …
Plein de vérité ce texte ! …
Il y a Paris et la France … d’en bas … même si on habite les hauts …
Passe une bonne journée … Amicalement … ¢ℓαυ∂є …
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5 mars 2018 à 8 h 03 min
J’ai beaucoup aimé ton texte Jazzy. Il faut reconnaitre qu’il a fait froid sur Paris et que le dernier record de froid en France date de 1956.
Mes premiers souvenirs d’enfance, alors que j’habitais dans les Yvelines. La maison était en construction et le chemin en terre qu’il fallait prendre était tout gelé et plein d’ornières. Maman nous avait laissé sous la garde de mon frère, Elle avait du se rendre sur le chantier de cette construction et en revenant avait chuté dans une ornière.
Je garde le souvenir de ma mère, de noir vêtue, (elle venait de perdre son frère tué par un chauffard),, pleine de sang, genoux écorchés et le visage tuméfié.
Bisous,
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5 mars 2018 à 9 h 03 min
L’art et la manière pour les journalistes de détourner le regard des spectateurs des vrais problèmes ou des nouvelles lois qui restent ainsi sous silence. Superbe ton poème , j’adore . Bises
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5 mars 2018 à 9 h 46 min
Bravo ! Très bien vu, les journalistes sont en émoi et les parisiens sont aux abois !!!!
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5 mars 2018 à 9 h 47 min
Très joli texte….dès les beaux jours ce ne sera plus qu’un mauvais souvenir…bonne journée..Bises
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5 mars 2018 à 9 h 52 min
Tu as raison… et chez toi faisait pas bien chaud avec le vent… juste une sortie au musée de la Cour d’or et pour 100 m à pieds on était glacé !
j’aime ce poème qui remet les infos à leur juste place…
bisous Jazzy
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5 mars 2018 à 10 h 43 min
les journalistes en ont fait leurs choux gras !!
la belle aubaine !! bravo c’est bien dit ! bizzz
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5 mars 2018 à 12 h 46 min
Ah Paris !!!
Belle poésie parisienne !
Bizzz
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5 mars 2018 à 13 h 22 min
Super ton texte , j’ai apprécié à leur juste valeur les deux dernières phrases… Bisous MTH
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5 mars 2018 à 13 h 27 min
…nous avons été préservées de toute cette neige, fort heureusement! tout semble vouloir renter dans l’ordre..
Bises du jour,
Mireille du sablon
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5 mars 2018 à 14 h 04 min
Bonjour, Bien vu, je crois que l’on en a un peu trop fait sur Paris durant cette période, ce n’est pas la première fois que la capitale est grippée par la neige ou le verglas et c’est toujours le même crédo dans les infos, comme si cela était une exception.
Bonne journée
Bises
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5 mars 2018 à 15 h 08 min
Magnifique comme tu as surfer sur l’actu des derniers temps avec ce défi. Bravo
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5 mars 2018 à 16 h 06 min
bien beau poème. Et aujourd’hui le printemps s’est invité. Bises et bonne soirée.
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5 mars 2018 à 20 h 10 min
Pingback: Plaisirs d’hiver : défi 201, vos participations – le blog de la communauté des croqueurs de mots
C’est absolument magnifique…. trop bien tourné, chère Gisèle ! un grand bravo… J’AIME !
Bisous
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10 mars 2018 à 23 h 42 min
Oui tout le monde s’affole pour quelques flocons, quoi de plus normal en février, le contraire est bien plus alarmant.
Très joli poème. Merci pour ta participation.
Bisous.
Domi.
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11 mars 2018 à 23 h 55 min
les habitants de contrées habituées à la neige ont bien du s’étonner de nos émois et de nos imprévoyances … bises
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21 mars 2018 à 18 h 42 min