Jeudi poésie
Pour le jeudi poésie des croqueurs de mots, Lenaig à la barre un clic sur le prénom
J’ai choisi un poème de Guy Cadou qui nous fait prendre conscience de cet ici et ailleurs sur lesquels la poésie doit s’appuyer .
Dans le train bleu qui roule à vide
Quelque part dans le matin
Au petit hôtel de la plage
Abandonné de la Toussaint
*
Le long d’un fleuve large et triste
sur les canaux de la banlieue
Dans la ruelle qui résiste
A l’air qui monte mélodieux
*
Au fond d’une entrepôt de rêves
Et plus loin encor sur les claies
D’un soleil rouge qui soulève
Un ménage de roitelets
*
Je me sens vivre je dépare
La pauvreté de cette vie
Je suis riche comme un avare
Qui n’est riche que d’autrui.
Bravo Jazzy, un très beau poème pour illustrer cet ici et cet ailleurs. La photo est magnifique.
Bises et bon jeudi
J’aimeJ’aime
11 mai 2017 à 18 h 20 min
Bonjour d’Angers … (ville où il fait bon vivre) …
Oui ! Sûrement ! …
Bonne journée … Amicalement … ¢ℓαυ∂є …
Dans un environnement qui ne cesse de s’assombrir, “Heureux les esprits fêlés car ils laissent passer la lumière” ! …
J’aimeJ’aime
11 mai 2017 à 18 h 20 min
Beau poème. J’aime les voyages en train. Bisous.
J’aimeJ’aime
11 mai 2017 à 18 h 39 min
Très joli poème et superbe photo…bonne soirée
J’aimeJ’aime
11 mai 2017 à 18 h 40 min
Assez surprenant ce poème dans son écriture.
Un peu façon oxymores, des idées des mots s’opposent,
à la façon d’un ici, et d’un ailleurs.
Riche comme un avare, on pense sa richesse dans une cassette, et là, il
délocalise, la richesse, c’est l’autre.
Parait que notre nouveau président sait faire, entendu dans une émission pas trop suivie.
Il donne à son interlocuteur, le sentiment d’être en empathie, d’être le plus important ndu monde,
un truc comme ça. Pourvu que ce ne soit pas qu’une impression.
Merci pour ta participation aux mots, Compostelle, et juste le récit que tu lis actuellement.
Un hasard, transmission de pensée ?
À tantôt. Yann
J’aimeJ’aime
11 mai 2017 à 18 h 46 min
Un très bon choix Gisèle ! J’♥ !
Bravo et bonne soirée !
Bisous♥
J’aimeJ’aime
11 mai 2017 à 19 h 39 min
voilà qui donne des envies de partir voir si à Yeur* le temps est meilleurs !
* Yeur se trouve ches Quichottine !
bonne soirée jazzy
J’aimeJ’aime
11 mai 2017 à 19 h 40 min
Bonsoir Jazzy, partout où la vie va on est riche de notre voyage sur terre, en somme… merci, bises
J’aimeJ’aime
11 mai 2017 à 20 h 00 min
bonsoir Gisèle, très beau poème. Bisous MTH
J’aimeJ’aime
11 mai 2017 à 20 h 46 min
Bonsoir,
Un beau poème qui illustre bien l’évasion, le voyage, même simplement avec lmes mots.
Bonne fin de semaine
Bises
J’aimeJ’aime
12 mai 2017 à 16 h 10 min
Pingback: Vos participations au défi 186 mené par Lénaïg : La tête ailleurs – le blog de la communauté des croqueurs de mots
Bonjour Gisèle, je découvre ce poème magnifique, merci beaucoup, gros bisous.
J’aimeJ’aime
15 mai 2017 à 10 h 44 min
Un bien beau poème d’un poète et résistant que l’on connait trop peu. Automne est l’un des premiers poèmes que j’ai appris à l’école en CE1. bises
J’aimeJ’aime
16 mai 2017 à 16 h 16 min